En passant devant l'Opéra royal (bien sur, tout est royal!), je vois une grande agitation. Pourquoi ne pas essayer de rentrer?
Ce qui m'impressionne à Stockholm, c'est la continuité historique qu'il existe avec l'ancien régime ; tout ce que 1789 a coupé court en France semble avoir continué son cours en Suède.
Gustav III (entre Histore et fiction, cf. Un Ballo in Maschera) a aussi succombé au style versaillais. Résultat : on retrouve le grâce et le rococo des Lumières, mais pas dans une version historique de musée; ici c'est encore d'actualité, c'est fonctionnel, c'est... royal.
Le foyer de l'opéra... je n'ai pas pu prendre de photos, mais y être est un voyage dans le temps! On se perd entre dorure et dorure!
Le foyer de l'opéra... je n'ai pas pu prendre de photos, mais y être est un voyage dans le temps! On se perd entre dorure et dorure!
L'operan, tout petit, tout mimi, ne peut pas laisser les fans de I. Bergmann indifférents! On reconnaît, sous les avancées, ces petites loges fermées par un rideau, véritable théâtre de marionnettes. Où est passé le Papageno du Trollflöjten ... la Flûte enchantée ... ?
Au programme, Falstaff, cet opéra si bizarre qui sonne si peu verdien, mais qui ne peut être que du Verdi. La mise en scène très design - normal, Stockholm! - avec des couleurs claires et chaudes. Et ce qui m'a le plus marqué, raison pour laquelle je mets en blog cette soirée d'Operan, c'est le rideau de l'entr'acte.
À vous de juger:
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