mercredi 26 mars 2008
samedi 15 mars 2008
Stockholm Konserthuset
The Royal Concert Hall - Konserthuset - au centre de la ville.
Construit en 1926 par l'architecte suédois Tengbom, le concert Hall, bâtiment bleu avec ses fines colonnes roses, illustre le style néo-classique suédois du début du XXe.
C'est là que chaque année a lieu la remise des Prix Nobel.
En dehors du Konserthuset, sur la place de marché, Hötorget, se trouve le Groupe d'Orphée (1936) du sculpteur suédois Carl Milles, élève de Rodin.
vendredi 14 mars 2008
Une ville d'eau
14 îles, 800.000 habitants...
La mer partout, des ponts, des falaises, des buildings modernes qui se jettent sur une pelouse qui finit sur la mer.
C'est vraiment une ville belle, dans son architecture (Berlin? Versailles?), son emplacement géographique, ces espaces intérieures éclairés par des plantes et des bougies.
Le truc tout blanc, au fond, en contrejour, c'est un bateau. Le Rygerfjord, l'hotel auberge!
La mer partout, des ponts, des falaises, des buildings modernes qui se jettent sur une pelouse qui finit sur la mer.
C'est vraiment une ville belle, dans son architecture (Berlin? Versailles?), son emplacement géographique, ces espaces intérieures éclairés par des plantes et des bougies.
Le truc tout blanc, au fond, en contrejour, c'est un bateau. Le Rygerfjord, l'hotel auberge!
Une soirée d'Operan ... à Stockholm
Lundi 9 mars, après la première séance d'examens à la Musikskolan; après Mozart et Puccini; après un long après-midi, je retourne vers Södermalm par la Kungsträdgardsgatan.
En passant devant l'Opéra royal (bien sur, tout est royal!), je vois une grande agitation. Pourquoi ne pas essayer de rentrer?
Ce qui m'impressionne à Stockholm, c'est la continuité historique qu'il existe avec l'ancien régime ; tout ce que 1789 a coupé court en France semble avoir continué son cours en Suède.
En passant devant l'Opéra royal (bien sur, tout est royal!), je vois une grande agitation. Pourquoi ne pas essayer de rentrer?
Ce qui m'impressionne à Stockholm, c'est la continuité historique qu'il existe avec l'ancien régime ; tout ce que 1789 a coupé court en France semble avoir continué son cours en Suède.
Gustav III (entre Histore et fiction, cf. Un Ballo in Maschera) a aussi succombé au style versaillais. Résultat : on retrouve le grâce et le rococo des Lumières, mais pas dans une version historique de musée; ici c'est encore d'actualité, c'est fonctionnel, c'est... royal.
Le foyer de l'opéra... je n'ai pas pu prendre de photos, mais y être est un voyage dans le temps! On se perd entre dorure et dorure!
Le foyer de l'opéra... je n'ai pas pu prendre de photos, mais y être est un voyage dans le temps! On se perd entre dorure et dorure!
L'operan, tout petit, tout mimi, ne peut pas laisser les fans de I. Bergmann indifférents! On reconnaît, sous les avancées, ces petites loges fermées par un rideau, véritable théâtre de marionnettes. Où est passé le Papageno du Trollflöjten ... la Flûte enchantée ... ?
Au programme, Falstaff, cet opéra si bizarre qui sonne si peu verdien, mais qui ne peut être que du Verdi. La mise en scène très design - normal, Stockholm! - avec des couleurs claires et chaudes. Et ce qui m'a le plus marqué, raison pour laquelle je mets en blog cette soirée d'Operan, c'est le rideau de l'entr'acte.
À vous de juger:
samedi 8 mars 2008
À l'institut Chdss
Daysy is eating her sweedish sandwich, and, of course, planning to eat lot of SalmoSandwich in Stockholm !!
Gourmande!
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